lundi, février 28, 2005

Augmentation de loyer

L'épouse du propriétaire vient de m'avertir qu'il augmentait le loyer subtentiellement. Elle me donne comme prétexte que le coût des loyers dans le secteur ont augmenter largement. (Ce qui est à mon avis une justification irresonnable.) Il me reste donc à recevoir l'avis réel et en bonne éduforme.
De toute façon je conteste l'augmentation et je crois être dans mon bon droit.

Photographie

Vingt quatre heure

Vingt quatre heure :


7 :30 : lever, fait du café, jeté un coup d’œil à l’ordinateur.

7.30 à 8.30 : relever mes courriels, fureté sur mes deux forums favoris.

8.30 à 9.00 : écouter «Salut bonjour» au réseau TVA.

9 :00 à 10 :00 : fait de légère mise à jour sur mon site et mon blog.

10 :00 à 11 :00 Refait du café, regarder à l’extérieur, semble faire beau, malgré le froid.

11 :00 à 12 :30 : Fait trempette dans un bon bain chaud.

12 :30 : refait encore du café, m’installe devant la télé pour regarder l’émission d’actualité.

13 :30 à 14 :00 : Tentative de sieste.

14 :00 à 16.00 : Sieste.

16 :00 : Préparation du souper, macaroni.

16 :15 : Soirée télé.

18 :00 : Tout en écoutant les nouvelles à la télé j’ai partie un lavage.

21 :00 : Nouveaux silex de café. Pliage de linge et comme toujours le mystère du bas qui disparaît. Placer le linge dans les divers tiroirs.

22 :30 : J’écoute les nouvelles d’un oreille et jette un coup d’œil sur divers forums et courriels.

23 :00 : J’écoute le film «Rockie» pour la Xième fois à la télé.

23 :30 : J’en ai ma claque, je vais me coucher et me fabriquer un rêve.

07 :30 : Lever, fait du café, jeter un coup d’œil aux courriels et mise à jour.

dimanche, février 27, 2005

Fin de mois

Chaque mois, quand arrive la fin, je n’ai plus un rond. Toujours la même histoire que je me fais raconter par l’argent. Je connais pourtant la fin mais à chaque fois elle me surprend et me laisse les culottes par terre. Je ne peux jamais boire à ma soif insatiable, je ne peux jamais manger...

samedi, février 26, 2005

L'errant

L’errant se frôle à la joue du temps, qui meuble ses souvenirs comme l’on fait avec les murs trop blancs. La lune hante son ciel sans nom, la pluie ruisselle sur son manteau long. Il n’a nulle part où aller, où même sonner serait de l’indiscrétion, il ne vaque à rien, sauf si ce n’est que de se trouver refuge pour la nuit, où même là, le vent ne pourra lui dépouiller le cœur de son orgueil ainsi que de lui arracher son chapeau qu’il arbore si fièrement jour après jour. Dans son quartier, de la rue St-Denis jusqu’à une plus dans l’Est, il est connu, comme l’on connaît une vedette rock que l’on voit à la télévision. Il est sans nom, sans emploi et sans intérêt pour les résidants qui, chaque jour le croisent sur leur passage sans daigner lui adresser ne serait-ce qu’un sourire gratuit - comme celui chez Wal-Mart que l’on donne à l’achat de 72 canettes Coke (que l’on donne presque). Il est la risée des plus grands alors qu’il est un mystère pour les plus petits.


- Pourquoi maman le monsieur il demande toujours de l’argent quand les gens passent devant lui?

- C’est parce qu’il a froid ma chérie, et qu’il n’a pas de maison pour réchauffer son cœur.

- Et pourquoi alors que, si il a froid dans son cœur et qu’on lui donne de l’argent pour se construire une maison pour son cœur, il sourit toujours?

Elle prit le castor que sa mère lui donna, non sans chigner, et alla le déposer dans le chapeau du vieil homme.

- Voilà monsieur, dit elle, je vous donne ce castor pour qu’il vous aide à construire votre maison dans votre cœur.


Le vieil homme lui sourit de toutes ses dents, jaunes à cause du soleil qui lui arrachait un sourire au quotidien, et l’a remercia. Alors que la petite fille s’en allait rejoindre sa mère, il lui dit de revenir. Lorsqu’elle était à ses côtés, assez près pour sentir battre son cœur et entendre le clignement des ses yeux, il déposa dans sa main, imprégnée de l’hiver, un dix sous.


- Voilà ma p’tite fille, je te donne ce bateau pour qu’il t’emmène où tu veux.


L’homme se dénicha un endroit où se reposer, une boîte en carton trouvée à l’arrière d’un magasin à rayons. Il s’y installa pour la nuit, sachant très bien que c’était peut-être sa dernière à vie. Il embrassa la pièce de cinq sous après quoi ses yeux se sont fermés à tout jamais. On le retrouva le lendemain matin, le corps figé dans la position fœtale. Il étreignait sa couverture de ses dix doigts et arborait fièrement un sourire d'enfant.


--Alex.

Saule pleureur

Aujourd’hui, Philippe est rentré chez lui, a éteint la lumière est s’est étendu sur son lit froissé de solitude. Les quatre murs entre lesquels il s’est cloîtré sont un album photo lourd de souvenirs. Amenez-lui de l’amnésie car il n’a pas le courage d’oublier. Son plafond, devenu blanc à trop le regarder ne le fait même plus sourire comme les nombreuses nuits qu’il a passées sous un ciel à la belle étoile.



Sa tête est un roman inachevé car il n’a pas le courage de vivre entre les lignes. Sa plume, enveloppée de secrets, reste muette devant la page blanche de sa matière grise. Philippe irait bien prendre l’air mais se sent trop fragile pour la soulever. Il préfère la fuir en écoutant l’air de rien. Les sons en sont moins perçants mais les éclats n’éclaboussent point son cœur qui se pleure.



--Alex.

Restons «Zen»



© 2004

Restons «Zen», il ne reste que deux jours pour la fin du mois. J'ai tellement de choses à me procurer que je ne sais par quoi commencer

vendredi, février 25, 2005


Merci Mon Dieu


Coeur

Merci Mon Dieu pour m’avoir accordé, en ce jours gris et morne, le privilège et le plaisir d’admiré de ci jolies femmes. Ces deux jeunes filles attablées au restaurant et qui respire la beauté et l’innocence de leurs 20 ans. Cette femme dans la grâce de la trentaine avec ses talons légèrement surellevé qui met en relief le galbe de ses jambes. De cette femme enceinte avec son sourire radieux. A cette inconnue, que je n’ai jamais vue, qui m’a tiré du désespoir. A cette dame de 80 ans, qui ressemble à si méprendre à ma mère, et qui dégage amour et tendresse. À toute ses femmes qui ont, à un moment où un autre de ma vie, raviver un sourire sur ma figure. Je ne peux que dire que vous êtes belles et que je vous aimes.


C’est pourquoi, mon Dieu, je vous demande humblement le privilège de profité de ce plaisir pendant encore de longue année.


©Lamco 2001
12/4/2001

jeudi, février 24, 2005

Libération de droit

Pour le photographe en vous:

model release form (pdf) (anglais)
Libération de droit (francais)

Dubuisson, lui et l'autre...

Dubuisson, lui et l'autre, un petit clin d'œil du coté des blogs.
Mis en ligne en moins d'une heure avec le minimum de connaissances, que dire de plus, accessible à tous.
Une façon de livrer, à la vue de tous; des états d'âmes (réel et/ou virtuel), des trucs et astuces. De montrer un coin de patrimoine d'ici ou d'ailleurs. Combattre le syndrome de la page blanche. Voir son évolution dans le temps.

photographie


© 2004

Félix Leclerc




«Au dessus, en dessous du panier, ennemis il y a.

Philosophie, ironise

Comme quand tu étais pauvre

Hier est loin.

Oublies.

Riche ou pauvre demain

tant de choses à connaître

Avant de disparaître

Et surtout n'oublie rien.

Souviens-toi. Souviens-toi.»

(Tiré des Maximes de Félix Leclerc.)

J.-P.2

J.-P.II de retour à l'hôpital.

Depuis cing heure ce matin (heure de Montréal). Le Souverain Pontife est de retour à l'hôpital pour des problêmes respiratoire.

J'ai flancher…

Hier soir j'ai fumé cinq cigarettes. Et la je suis étourdie. Moi qui pensais que je prenais le dessus sur la Nicotine. Je vais devoir tout recommencer à "0"

mercredi, février 23, 2005

rêver, cigarette

Hors série :
Me voici donc à explorer une autre facette d'Internet; les blogs. Plus ou moins facile d'utilisation ils permettent une interaction plus facile entre les participants. Ou j'arrive pas à comprendre c'est la mise en page (difficilement paramétrable, livejournal).


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Encore une autre journée de gagner sur la cigarette. Et la j'ai faim, je mangerais un rôti complet avec une tonne de pommes de terres et des légumes, sans compté un magnifique forêt noir comme dessert. Bien quoi… toujours permis de rêver.

Photographie

mardi, février 22, 2005

Cigarette

Neuf jours sans fumé et je me cherche encore dans la maison, un peux moins pire qu'au début, mais le goût est toujours présent. Pour les victuailles encore 6 jours à attendre. La température : passablement de neige ces derniers jours. Le froid s'estompe peux à peux (reste moins d'un mois pour le printemps).

Photographie

lundi, février 21, 2005

Fronzyne

Surprise, surprise. Découvert le blog d'une personne avec qui j'ai perdu contact depuis un bon bout de temps. Fronzyne si tu a la chance de reprendre contact avec moi. Car je n'ai plus tes coordonnées à Sherbrooke.

Photographie

dimanche, février 20, 2005

Tentations

Déjà 6 jours sans fumé, difficile. Et en plus ne me reste que deux pommes de terre comme victuaille pour me rendre jusqu'au 1er. Je veux bien croire que le carême est commencer, mais la trop c'est trop.

Recherche d'un air de repos pour mon blog

Me reste à faire des essais pour comprendre le principe.

lundi, février 07, 2005

Éthique

Simple question d'éthique

Je dois être de la vieille école, j'ai toujours pensée que cela était une simple question d'éthique de répondre (au moins par un accusé de réception) à un courriel ou lettre d'un client, si petit soit-il. Pourtant pour certaines grosses corporations se ne semble pas être le cas. Pourtant, trois courriels plus tard j'attends toujours votre réponse.